Donner corps au couple

Alain Chabert

Intervention à Turin le 26 janvier 2012

Journée d’étude d’Epistémè

Donner corps au couple

Corps et Couple, tous deux issus du latin, sont des mots qui ont eu une carrière féconde !

Corpus, dérivé probable d’une racine indo-européenne (krp), donne corps, nom masculin, en 881, pour désigner l’organisme vivant … ou le cadavre.

Vivant, le corps s’oppose à l’âme, et se déprécie au XIII° siècle (faire folie de son corps, 1260)

Copula est, en latin ancien, le lien, la chaine, mais aussi un groupe de deux personnes unies par l’amitié ou l’amour, et donne deux couples, vers 1150 :

Une couple, nom féminin, est le lien servant à attacher ensemble deux animaux, mais aussi ce groupe de deux, pourvu qu’ils soient de la même espèce et réunis accidentellement. Une couple n’est pas une paire !

Un couple, nom masculin, désigne l’union habituelle d’un homme et d’une femme, et, par extension, un groupe de deux personnes, puis de deux entités.

Corps, en 1050, désigne aussi le corps mort, et reprends alors grâce aux yeux de l’Eglise (corps glorieux 1554).

Le vocabulaire de la marine a annexé les deux mots : s’amarrer à couple, c’est bord à bord ; couler corps et biens, c’est notamment la coque, partie principale du navire.

Corps est métonymiquement le tronc, ou la personne elle-même ; métaphoriquement, c’est tout objet matériel ayant une certaine consistance (avoir du corps, 1680), et tout groupe formant un ensemble organisé (corps politique 1585, corps médical 1834).

Si la physique triomphante du XIX° siècle s’empare du couple pour désigner deux forces qui, appliquées à un solide, tendent à le faire tourner en rond, la chimie, dès le XVI° utilisait les corps, éléments ou substances de l’univers (les corps simples).
Les mathématiques du XX° siècle jouent des corps (ensembles munis de deux lois de composition interne), et des couples (x et y surtout, célèbres, bien qu’inconnus).

Riches d’emplois, corps et couple donnent peu de dérivés : Corset, vêtement couvrant au XIII° siècle le haut du corps, surtout de la femme, pour dire ce qui contraint, ce qui opprime ; accouplement, conjonction d’abord de deux astres en 1270, puis mariage au XVII°, avec une connotation sexuelle péjorative…

Extraits d’une thérapie de couple

A Le couple ne fait pas assez corps pour évoluer

Les fondations, on les a faites ensemble, mais on n’a pas vu la même chose. Il y a quelque chose de bancal dans la construction, qui empêche d’avancer.

B En dehors des séances, le couple est un sujet tabou.

A Il y a un décalage entre la façade qu’on a gardée tacitement, et les ruines, derrière.

B Quand on a commencé à se fiancer pour la première fois…

A On n’était pas désagréable, comme couple…

B Après la rupture de nos fiançailles, ma mère était sens dessus-dessous.

A Ce couple a une identité dans la société !

B On allait dans le sens de la vie.

A J’ai eu l’impression de l’avoir connu depuis longtemps.

B Il doit exister, et il n’existe pas autre que parental.

A Ce couple a fait une famille, les enfants partent, et c’est la fin du couple : il a été oublié !

Sculpture de A : Dos à dos, B regarde devant, les bras tendus ; A a les bras ballants, regard bas.

Sculpture de B : A est couché, immobile ; B est assis sur une chaise, épaules tombées.

A J’aime bien le travail qu’on fait ici. Mais, est-ce que ce n’est pas trop tard ?

B On ne peut pas vivre sans former un couple !

A Après la naissance de notre enfant, tout s’est fondu, toutes les identités.

B On a jeté les clefs du couple.

A Le couple n’a pas touché terre.
B Le fait de venir ici a fait éclater la crise. Mais toute l’organisation de la maison a repris.

Objet métaphorique de A : une corde

Objet métaphorique de B : un trou

A Le couple, c’est : orage, puis arc-en-ciel, puis orage, puis arc-en-ciel…

B Pour ma belle-sœur, c’est le couple idéal !

A C’est un couple vieux, essoufflé.

B Ma mère dit : « contre nature ».

Tableau de rêve de A : le vent et la mer.

Tableau de rêve de B : un papillon sur une fleur.

1 Le couple naîtrait, nous dit Kaufmann, à l’achat d’un lave-linge. Les deux individus qui ont décidé de fabriquer un couple, lui donnent corps sous cette première forme, une machine à laver le linge. Cette machine proposée nous permet de voir ce territoire de l’intime dont parle Robert Neuburger.

Une famille de chats ne miaule pas. Systémicien, constructiviste, je cherche à dialoguer avec la famille, plutôt que miauler avec chaque chat.

Alors, je me tourne vers Mara Selvini, qui me dit : « Hypothétisation, circularité, neutralité !». Ces trois pas de danse du thérapeute sont sa façon de faire exister, en séance, l’entité systémique Famille. Avec le Couple, l’un des pas, la circularité, devient vite pesant, voire ennuyeux ; et un autre, la neutralité, résonne avec l’appel à l’arbitre, facilement jeté par les deux individus, pour transformer le thérapeute en juge aux affaires matrimoniales.

Et voici que, derrière Mara Selvini, se profile le Mime Marceau.

2 Que fait précisément un mime ?

Pour l’essentiel, il regarde un objet qu’il a décidé, arbitrairement de faire voir aux spectateurs. Lorsque sa main se ferme sur une balle (imaginaire), s’élève doucement, puis s’ouvre soudainement avec une petite flexion du poignet et une extension des doigts, c’est son regard qui dessine une trajectoire possible dans l’espace, son regard qui indique une durée et un déplacement, donc une vitesse, un regard du mime qui produit une vision de la balle chez les spectateurs.

Sans le regard, le geste, même dans sa perfection possible, ne montrerait rien ! Grace au regard du mime, quelque chose est bien là, au croisement de tous les regards.

Mimos a donné mime, mais aussi le verbe mimesthai et le substantif mimesis. Par-là, l’objet mimé est représenté, rendu présent.

Eh bien, c’est à ce travail-là, rendre présent mimiquement le Couple, que s’attache le thérapeute. Gestuelle corporelle et gestuelle langagière (de qui – ou quoi – parle-t-on ? A qui – ou à quoi – s’adresse-t-on ? Qui – ou que – décrit-on?), ne valent, pour rendre présente cette entité systémique spécifique – le Couple – qu’autant que le regard, arbitraire, du thérapeute-mime lui donne corps.

Regardé, intensément, par le thérapeute-mime, le Couple pourra être vu par les deux individus. Ils pourront lui inventer un récit, donc un destin. Ce regard mimant, et ces paroles, ces questions, mimantes, placent l’entité Couple représentée, en partenaire du thérapeute ; de facto, les deux individus, qui étaient venus, peut-être, s’adresser à un juge-arbitre, sont mis en position de collaboration réciproque.

3 « Pour qui venez-vous ? », demande la secrétaire. « Pour nous…enfin, pour notre Couple… », répond celui, ou celle, qui appelle.

Donner Corps au Couple, c’est faire exister, incarner le Nous !

Survolons rapidement quelques mises en forme de ce Nous, par quelques sculpteurs de mots :

Pour les sociologues Kaufmann et De Singly, la fabrication du Nous, c’est une deuxième socialisation, qui excelle à éviter la guerre (entre les familles, les clans …). Les contraintes sociales au choix du partenaire ne sont pas minces : « Le problème n’est pas de se chercher, mais de se trouver ! ». Ce n’est que dans les contes de fées que les bergères épousent des princes ; sur cette terre, les bergères épousent des bergers, et des psychiatres des psychiatres, ou des psychologues ! Lorsque est achetée et utilisée la machine-à-laver-le-linge, chacun cesse qui d’aller laver son linge au lavomatic, qui de donner son linge à sa mère.

Pour le psychanalyste J.G. Lemaire, ce Nous, c’est une défense, la meilleure qui soit, contre la pulsion de mort, contre l’autodestruction des individus. Les contraintes au choix ne sont pas moindres d’un point de vue psychodynamique que sociales, ce sont les contraintes de l’histoire de chacun. Instant d’éternité, ce Nous est peint avec deux visages, la lune de miel et la crise.

Pour P. Caillé, une équation, de prime abord un peu étrange, nous dévoile le Couple : 1 + 1 = 3 ! Le Couple, c’est donc le +1, ce qu’il appelle l’ « absolu de la relation », qui n’est pas un simple phénomène relationnel, mais un autre, un tiers, construit, supposé, d’abord par le thérapeute. Celui-ci va proposer au deux individus un parcours, au cours duquel ils pourront dialoguer avec ce tiers. Ce tiers, cet « absolu » du Couple, apparaîtra dans la succession des sculptures humaines, vivantes, phénoménologiques (comment chacun voit ce qu’ils se font l’un – l’autre) et mythiques (visions essentielles du Couple).

Pour R. Neuburger, Nous est une danse entre une organisation mythique (des croyances communes) et des rituels (des prescriptions répétitives rappelant une appartenance commune). Chacun des deux individus qui ont participé à la fabrication de cette appartenance, avait délimité, généralement à l’adolescence, des frontières autour d’un territoire d’intimité personnel. Le Couple, c’est une nouvelle frontière à tracer autour d’un nouveau territoire d’intimité. Dans sa construction, l’organisation mythique repose sur ce que Neuburger appelle « mythe fondateur », pour lui un élément irrationnel ; de pure singularité dirions-nous, qui traduit la croyance en un destin commun.

Croyance au hasard et à la prédestination sont indissociables, dans la construction du Couple. La contrainte au choix, double (sociale et intrapsychique), ne peut donner naissance à un +1 que s’il y a hasard, prédestination, et lien double entre les deux : C’est parce que le hasard a provoqué notre rencontre, que nous savons que nous étions prédestinés ; mais, pour que notre destin s’accomplisse, nous ne pouvions que nous rencontrer par hasard, du moins le croyons-nous !

4 Donner Corps au Couple, c’est utiliser les questions-mimantes au service d’un regard-mimant. Comment nous y prenons nous, pour faire apparaître le Couple, à travers cette métaphore du mime, si les deux individus le veulent bien ?

Très rapidement, dès le premier rendez-vous souvent, ou au début du deuxième, nous introduisons une chaise, entre les deux individus, pour dire que, sur cette chaise, face au thérapeute donc, est assis un personnage mystérieux, le Couple. Ils lui ont donné naissance, ils l’ont fabriqué.

Ce personnage, je, le thérapeute, ne le voit pas très bien ; et je vais leur demander de m’aider à mieux le voir.

Etant placés de part et d’autre du Couple, nos deux individus, qui sont incités à le regarder pour me le faire voir, ne le voient pas, évidemment, sous le même angle. Ils vont donc, en toute légitimité, le décrire différemment.

A leurs deux regards, je leur demanderai d’ajouter aussi, en les imaginant, d’autres regards.

Ainsi, le Couple sera, peut-être, mieux visible de cette pluralité de points de vue. Mots et regards tourneront alors autour du Couple, comme autour d’une sculpture.

Comment le voient-ils, chacun ? Quelles qualités, et quels défauts lui attribuent-ils ? Qui gravite autour de lui (oui, de lui, pas de vous A, ni de vous B!) ? Qu’en diraient, s’ils étaient là, le frère de A, l’amie d’enfance de B, la mère de B, le fils qu’a eu A d’un premier couple… ? Qu’est-ce qui fait que A et B tiennent suffisamment à ce Couple, pour venir consulter des thérapeutes, (car, recadrage banal, le garder, le conserver, le soigner, est une décision arbitraire, pas une nécessité) ?

Le thérapeute échange des regards, des mimiques (autre dérivé de mimos), des gestes, des attitudes, avec A, avec B, et avec le Couple. Il peut en faire le tour, le prendre aux épaules…

Nous proposons aussi, très tôt, une première approche du niveau mythique, de l’identité de ce Couple, par l’utilisation de notre « Cartouche Systémique ».

C’était là faire œuvre de peintre ou de sculpteur. Nous le croisons ensuite avec un travail d’historien, de biographe. J.L. Borges nous a appris combien la fabrication biographique pouvait donner corps à un personnage.

Et d’abord son « bulletin de naissance » : A quel moment A, et B, ont-ils su que naissait, ou était né, un Couple ? A quoi l’ont-ils su ? Quels sont ces éléments, ces petites différences, plus ou moins mythifiées, qui leur ont fait voir un Couple, quelque chose de différent de simples relations, aventures, liaisons ? A l’entour, qui s’est aperçu que naissait un Couple, parfois avant A, ou B ? Qui a refusé de voir ce Couple ? Et, éventuellement, qui refuse encore de le voir, après tant d’années, malgré tous les faire-part régulièrement adressés ?

Puis, comment a-t-il grandi (bulletin de croissance, ou carnet de santé…) ? Qu’ont fait au Couple le temps, les évènements, chaque enfant ? Sur la chaise du Couple, nous (c’est-à-dire A, B, le thérapeute, le cothérapeute) voyons les incarnations particulières et l’histoire singulière de la lune de miel et de la crise dont parle Lemaire. Nous leur demandons d’en faire des sculptures (le Couple dans la lune de miel, le Couple dans la crise), puis de faire une danse lente par passages successifs, à plusieurs reprises de l’une à l’autre.

Dès le premier enfant, le Couple s’est dédoublé : Couple conjugal (celui qui intéresse au premier chef le thérapeute) et Couple parental (qu’il ne peut ignorer). Ce dernier a-t-il enrichi le premier ? Ou l’a-t-il voilé, endormi, assassiné ? Quels rôles ont joué A et B dans ce qui est arrivé au Couple ? Qu’en pensent aujourd’hui A, B, l’entourage ? Ce Couple sera Corps sculpté par A et B, à différents moments de son histoire.

Ce travail s’étend sur trois, quatre séances, parfois un peu plus. La dernière de cette série est souvent consacrée à reprendre autrement la question de l’identité de ce Couple, que nous voyons mieux maintenant, volontiers en utilisant un Blason Systémique, comme le propose Yveline Rey.

5 Pendant ces séances, le thérapeute est attentif à ce que nous appelons les bornes d’une thérapie de Couple, c’est-à-dire au-delà desquelles il ne convient pas, selon nous, de poursuivre une thérapie du Couple conjugal, mais plutôt de s’orienter autrement.

Elles sont au nombre de trois :

1° Un des membres du Couple est patient identifié, avec une désignation forte, par son conjoint et, éventuellement, par lui-même, avec une théorie causaliste du genre « les problèmes du Couple sont causés par la maladie de A (ou de B) (alcoolisme, dépression grave et chronique, psychose, etc.) ». Dans ces situations, il convient de commencer un travail sur la désignation, assez proche de celui d’une thérapie de Famille, et, souvent, d’impliquer d’autres membres d’un système plus large, tant il est rare que le seul Couple conjugal suffise à produire une désignation forte.

2° Un des membres du Couple a, en fait, déjà quitté le Couple (il, ou elle, peut avoir un avocat, une chambre en ville, une promesse d’union à un tiers sitôt que dégagé complètement…) et il vient surtout pour protéger l’autre d’un suicide, ou pour se protéger lui-même de rétorsions lors du passage devant le Juge aux Affaires Familiales. Si le thérapeute a le sentiment d’être dans cette configuration, il doit s’en assurer en recevant, au moins quelques instants, les deux personnes séparément (où en êtes-vous par rapport au Couple ? Envisagez-vous de vous séparer ? Votre conjoint le sait-il ? Que pensez-vous qu’il envisage ? Pensez-vous qu’il pense quitter votre Couple ? Sur qui pouvez-vous compter ? Et lui ? Que craignez-vous?)

3° Implication ou instigation d’un ou de plusieurs enfants dans le problème du Couple. C’est le plus difficile, souvent, à repérer. Ce sont des phénomènes classiques de triangulations, que Mara Selvini a décrit, avec utilisation d’enfants par l’un ou les deux membres du Couple, qui mélange alors Couple conjugal et Couple parental. Il convient, là, selon nous, au minimum de faire venir symboliquement les enfants (dans les sculptures, par exemple), et, très souvent, de les inviter en séance.

Une autre configuration peut paraître proche, alors qu’elle est très différente : un Couple a des difficultés éducatives avec les enfants (du Couple ou de Couples précédents), qui retentissent sur la relation conjugale ; celles-ci sont énoncées comme cause des difficultés éducatives. Dans cette configuration, l’attention portée au Couple conjugal, notamment le soutien de son identité, est souvent bénéfique.

Lorsqu’une thérapie du Couple conjugal ne convient pas selon nous, un autre type de travail systémique est possible, le plus souvent plus proche d’une thérapie familiale. Parfois, dans la situation du 2°, une proposition de thérapie individuelle est plus adéquate. Dans toutes ces situations, l’inadéquation est au présent, mais n’obère pas l’avenir.

6 Au terme de ces quelques séances, où le thérapeute-mime a permis au Couple de prendre Corps, à côté des deux individus, une décision va pouvoir être prise, par l’ensemble des protagonistes, de poursuivre, ou non, le dialogue entamé. Notre expérience est que, bien souvent, A et B auront, de cette co-création du +1, retrouvé les compétences qu’ils étaient persuadés avoir perdues, et le système thérapeutique pourra se dissoudre, quelle que soit la décision de A et B sur leur Couple.

Parfois, au contraire, le dialogue engagé dans le système thérapeutique va se poursuivre : c’est s’engager dans une étude plus approfondie des interactions entre le Couple et les individus, des relations que chacun établit avec ce groupe d’appartenance maintenant nettement vu par les protagonistes du système thérapeutique, qui n’est ni son conjoint pour chacun, ni l’association parentale, sous quelque forme qu’elle vive et qui s’occupe de l’élevage des enfants, ni la famille, même nucléaire.

Dans ces situations, nous utilisons volontiers le modèle de P. Caillé.

7 Donner Corps au Couple !

Je voudrais proposer une triple hypothèse pour (ne pas) conclure :

C’est d’abord plaider pour une égalité, alternative aux petits systèmes patriarcaux de domination de l’un sur l’autre, en l’occurrence de l’homme sur la femme.

Ensuite, dans la mesure où le Couple est une forme purement construite de lien social, bâti sur cet entrecroisement de hasard et de prédestination, il est à même de représenter, au sein de nos petits systèmes d’appartenance, le lien social lui-même, la loi humaine : interdit de l’inceste et du parricide, plus obligation d’exogamie, c’est-à-dire poursuivre l’humanité et faire naître du neuf.

Enfin, le Couple, si on lui donne Corps, est une réponse en sourire énigmatique à deux mythes actuels, destructeurs dans leur insistance : mythe de transparence et mythe de biologie génétique comme vérité ultime de l’humain. Le Corps du Couple reste opaque et construit !

Bibliographie

1 – BORGES J.L.

« Histoire universelle de l’infamie » in « Histoire de l’infamie, Histoire de l’éternité » LE SEUIL 10 18 Paris 1964

2 CAILLE P.

« Un et un font trois. Le Couple révélé à lui-même » ESF Paris 1991

3 CHABERT A.

« Le Cartouche systémique » E.F.T.A. Newsletter N°11, décembre 2012

4 DE SINGLY F.

« Libres ensembles » NATHAN Paris 1984

5 FREUD S.

« Pour introduire le narcissisme », in « La vie sexuelle » PUF Paris 1969

6 KAUFMANN J.C.

« La trame conjugale. Analyse d’un couple par son linge » NATHAN Paris 1992

7 LEMAIRE J.G.

« Le couple, sa vie, sa mort. La structuration du couple humain » PAYOT Paris 1979

8 NEUBURGER R.

« L’irrationnel dans le couple et la famille » ESF Paris 1988

9 NEUBURGER R.

« Nouveaux couples » ODILE JACOB Paris 1997

10 NEUBURGER R.

« Territoires de l’intime » ODILE JACOB Paris 2000

11 REY A.

« Dictionnaire historique de la langue française » LE ROBERT Paris 1994

12 REY Y. et CAILLE P.

« Les objets flottants. Au-delà de la parole en thérapie systémique » ESF Paris 1994

13 SELVINI-PALAZZOLI M. et coll.

« Hypothétisation, circularité, neutralité » Thérapie familiale, Genève, 1982, vol. 3, N° », 117 – 132